Biographie
du fondateur

Malgré son agoraphobie et sa discrétion, Il existe quelques portraits, publiés dans la presse, de Jean-Baptiste Descroix-Vernier. Vous en trouverez ici.

L’objet de cette page est de délivrer une biographie factuelle et vérifiée de JBDV.

Jean-Baptiste Descroix Vernier est né le 8 septembre 1970. Il vient d’un milieu économiquement modeste mais riche d’une culture rurale, ouvrière, artistique, et de service public. Une partie de sa famille travaillait la terre dans la région Rhône-Alpes. Il est le petit-fils d’un résistant, le fils d’une institutrice, et il a grandi en banlieue Lyonnaise.

Jeune bachelier, JBDV enchaîne les diplômes avec l’aide d’une bourse d’étude de la République. Deug, licence puis maîtrise de droit (Université Lyon III), diplôme de juriste conseil d’entreprise (DJCE), master en administration d’entreprise (CAAE, à l’époque), DESS de droit des affaires et fiscalité, études de Théologie, d’Histoire des Religions, etc. Il devient avocat à 22 ans et intègre le barreau de Lyon. Il fonde un cabinet spécialisé dans le droit des affaires qui prend rapidement une dimension internationale. Mais Jean-Baptiste Descroix-Vernier est aussi connu comme un avocat social : dans sa salle d’attente se croisent des grands patrons comme des SDF.

En 1999, il quitte le barreau et devient administrateur d’une société du numérique cotée en bourse. En parallèle, il lance la revue d’actualité boursière Bourse Magazine, intégrée deux ans plus tard au groupe Robert Lafont.

En 2002, il fonde Rentabiliweb, entreprise spécialisée dans la mise en place de solutions de micropaiement puis de paiement en ligne dédié au e-commerce.

L’entreprise fait son entrée en bourse en décembre 2006. L’actionnariat de Rentabiliweb compte des personnalités comme Bernard Arnault, François-Henri Pinault, Stéphane Courbit, Jean-Marie Messier, Pierre Bergé, et des entreprises telles que Natixis ou AXA.

Il crée en 2007, la Fondation Descroix-Vernier. Elle a pour but de financer des programmes humanitaires pour les vies les plus menacées (humaines et animales) ainsi que les causes environnementales.

Elle devient rapidement un acteur essentiel du secteur.

2011 : Jean-Baptiste Descroix-Vernier forme le premier Conseil National du Numérique à la demande du président de la République Nicolas Sarkozy. Il en devient vice-président, chargé de la commission des libertés et de la protection de l’enfance.

En mars 2016, lors d’une mission humanitaire en Afrique subsaharienne, il contracte une souche rare de la Malaria. Il survit de justesse après une longue hospitalisation. Il quitte, peu de temps après, la présidence de Rentabiliweb, devenue Dalenys. Il demeure néanmoins président du conseil d’administration, jusqu’en octobre 2017. Son groupe réalise alors plusieurs milliards d’euros de run rate bancaire annuel. Il est l’une des plus grosses Fintech d’Europe, la première française.

La même année, JBDV décide de se retirer du monde des affaires. Il accepte une OPA menée par Natixis (Groupe Banques Populaires-Caisses d’Epargne), qui devient propriétaire à 100% de Dalenys.

Aujourd’hui, Jean-Baptiste Descroix-Vernier vit retiré, entre sa péniche d’Amsterdam et la Dombes. Il a surmonté sa maladie et ses conséquences. Il continue le combat aux côtés des associations et des ONG de terrain avec son épouse et son équipe de bénévoles.

Ne rien faire contre la misère, c’est en être complice.

Jean-Baptiste Descroix-Vernier